Fonds monétaire international : L’Algérie, l’un des pays sans dette

Le rapport du Fonds monétaire international de 2024 a révélé que l’Algérie est le seul pays au monde qui n’a pas de dette, tandis que l’Égypte, le Maroc et la Jordanie font partie des pays les plus endettés de la région arabe.

Selon les dernières données publiées par le FMI en 2024 sur les pays les plus endettés, au niveau arabe, l’Égypte, le Maroc et la Jordanie sont les pays les plus emprunteurs auprès du Fonds monétaire international dans la région. Le même rapport a également indiqué que l’Égypte, l’Argentine, le Pakistan et l’Ukraine figurent parmi les pays les plus emprunteurs et les plus endettés au niveau mondial. Ces pays représentent à eux seuls près de 57 % de l’ensemble de la dette internationale.

En revanche, le nom de l’Algérie est absent du rapport et de la liste du Fonds, devenant ainsi l’un des pays arabe sans dette. Selon de nombreux experts, cela constitue l’un des facteurs les plus importants d’indépendance et de souveraineté décisionnelle, rendant difficile pour tout pays au monde d’imposer ses opinions à l’Algérie.

Ces rapports confirment la vision clairvoyante de la direction du pays, en particulier du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qui a souligné à maintes reprises que l’endettement extérieur est un suicide politique. Il a réaffirmé son rejet total de l’endettement extérieur, considérant qu’il est l’un des facteurs qui hypothèquent l’indépendance de la décision souveraine de l’État.

Dans un précédent discours, Tebboune avait déclaré que « l’endettement est un vice et une trahison envers les martyrs ». Il a ajouté que le recours à l’endettement hypothèque l’indépendance de la souveraineté nationale, ainsi que la défense des justes causes internationales, au premier rang desquelles les questions de la Palestine et du Sahara occidental occupé.

Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a également souligné dans plusieurs interviews que le rejet de l’endettement et de l’impression monétaire vise à préserver la souveraineté nationale. Il a déclaré que l’endettement pour des projets sans rendement est un gage pour l’avenir des générations.

Il est à noter que le piège de l’endettement est l’une des contraintes les plus dangereuses qui entravent les économies nationales des États et approfondissent leur déficit financier, hypothéquant ainsi l’indépendance de leur décision politique au profit de puissances étrangères. R.E

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